(oui, passque j'ai pas trop aimé la une de Libé, "la gaffitude"... Laurent Joffrin une fois de plus en dessous de tout, i' nous donnerait presqu'envie de ressusciter July... presque. )
Je l'ai déjà dit, je n'aime pas Ségolène Royal, depuis qu'elle a enchaîné les stupidités incompétentes au Ministère des de la Famille, au début du millénaire. Mais...
Y'a un truc que j'comprends pas ; quand Ségolène Royal suppose à haute voix que quelqu'un, qui pourrait être commandité par l'entourage de Sarkozy, aurait bien pu cambrioler son appart' afin de lui mettre la pression, tout le monde la traite de débile, de folle, d'hystérique, dans les deux camps.
Alors que quand Nicolas Sarkozy prétend que l'affaire Clearstream est orchestrée par Dominique de Villepin pour lui nuire, tout le monde le croit. On fait même un procès.
Je comprends pas.
Y'aurait deux poids et deux mesures, même pour la connerie ?
12 commentaires:
Si. Il y a deux poids deux mesures.
L'UMP a mis une équipe pour dézinguer en permanence Ségolène Royal (Nadine Morano, Frédéric Lefebvre et Jean-Pierre Raffarin) de manière à ce qu'on n'entende parler que d'elle à gauche dans les médias.
Les socialos n'ont même pas compris ça et se font un malin plaisir d'enfoncer leur collègue. Elle est où la solidarité ?
Tiens, joli commentaire. Je vais en faire un billet sur PMA.
il faut pourtant se rappeler que Sarko a longtemps été ministre de l'intérieur. il doit avoir suffisamment d'accointances le tout arrosé de belles promesses pour dégommer sa rivale dans l'esprit des français...
Nicolas,la solidarité, elle est dans mes chaussettes !elles changent avec le temps..
Bien vu ! J'aime beaucoup le titre du billet.
je dois avouer que l'intervention de Guy Birenbaum sur Europe 1 m'a mis en tête cette comparaison avec Clearstream... mais je l'avais sur le bout de la langue !
Tu as bien raison. Ségolène, à force de s'énerver et/ou de raconter des conneries, on ne fait plus attention lorsqu'elle dit des choses potentiellement intéressantes...
à bientôt
Si j'écoute les réactions il semble que quand on est une femme politique de premier plan, il faut accepter certains inconvénients et surtout attendre que la vaillante Police Nationale ait démontré la nature neutre des cambrioleurs pour l'ouvrir !
A l'inverse quand on est fils d'un ministre de l'intérieur, on peut compter sur la recherche d'ADN pour un simple scooter !
Oui, il y a deux poids deux mesures !
:-)))
Dites donc, votre Arnaud Clément (je sais, vous allez me dire que ce n'est pas le vôtre, mais bon, ce n'est qu'une façon de parler de ma part), tout maire-adjoint de Châteauroux et conseiller communautaire de l'agglomération castelroussine qu'il est, je trouve qu'il fait quand même beaucoup de fautes d'orthographe pour un enseignant. Au lieu d'arborer une grosse croix de Lorraine sur son blogue, il ferait peut-être bien de commencer par lire les mémoires de De Gaulle.
À propos, sinon, de la remarque de ce bon Nicolas, j'ignore si l'UMP fait donner le gros Raffarin contre Ségolène Royal pour que l'on ne parle que d'elle (cela dit, ce type est si pathétique qu'il finirait presque, par contrecoup, par nous faire oublier les défauts de celle que, manifestement, il déteste), en tout cas, il me semble que la droite, en ce moment, tient également beaucoup à ce que l'on parle du Gentil Facteur.
@chieuvrou
Merci pour votre conseil ! Mais sachez que je ne vous ai pas attendu pour me plonger dans les mémoires du Général, ce qui ne peut que me conforter dans le fait d'arborer "une grosse (?) croix de Lorraine" sur mon blog. Peut-être devriez-vous songer à les (re)lire ? Vous ne seriez alors plus étonné par la présence sur mon blog, de cette croix de Lorraine.
Ensuite, concernant les quelques fautes d'orthographe que vous trouverez ici ou là sur mon blog, comme je l'ai toujours dit, dans ce domaine, personne n'est infaillible, ni les enseignants, ni les politiques, ni vous, ni moi. Le fait est que j'écris beaucoup et il m'arrive peut-être en fin de journée d'être moins vigilant sur mon blog, en ayant une relecture plus distraite.
Enfin, je vous souhaite bien du courage, car si vous avez décidé de vous lancer dans une croisade contre les fautes d'orthographe dans la blogosphère, sachez que votre tâche est immense. Et je ne suis pas certain que commencer ce travail par mon blog soit une idée bien pertinente, ce dernier n'étant pas, je le crains, le reflet de ce qui peut exister de pire, en la matière, sur internet.
Et si je suis attaché à la langue française, au moins autant que vous pouvez l'être, je crois qu'il faut aussi savoir être quelque peu tolérant.
Cordialement.
La critique est aisée...Chieuvrou.
Si on devait éradiquer tout ce qui pêche un jour ou l'autre par la plume, le monde serait bien dépeuplé (remarquez, ce serait un critère comme un autre, après tout, la surpopulation est un fléau...)
Sinon, pour répondre à la dernière partie de votre commentaire, je remarque juste que vous faites partie de ces gens qui supposent que la droite agit avec le Postier comme la gauche le fit en son temps (que les moins de 20 ans...) avec le Borgne. C'est une hypothèse que je caresse également. Mais avec des gants de crin.
Sinon, Arnaud, du coup que j'oublie : ne t'inquiète pas, Arnaud, Chieuvrou se fait un devoir de se montrer un peu grincheux mais, au fond, il n'existe pas vraiment, ce n'est qu'un personnage... un troll puriste de la grammaire. Il flatte en moi le côté Cyrano sans doute (je connais cette pièce par coeur, savez-vous ? )
@Ellie
Bigre ! Me voilà promu au double rang de troll et d'ectoplasme, et ce avant même la remise des décorations du 14 juillet... C'est, si je ne me trompe, le début de la gloire.
Je vous rassure, toutefois : je ne cherche nullement à éradiquer quoi que ce soit ni à interdire à quiconque de s'exprimer (du reste, n'étant pas chez moi, je serais mal venu de tenter de jouer les censeurs). Il y a simplement – c'est, je le sais, totalement vieux jeu et même parfaitement grotesque – que j'ai encore un peu de mal à m'habituer au fait que des instituteurs ou des professeurs non seulement fassent des fautes d'orthographe grossières, mais encore les livrent sans complexe à la lecture de tout un chacun.
Cela étant, je le reconnais, la dernière phrase de mon premier paragraphe était de trop. Poujadisme facile à l'encontre d'un élu ? Anticastelroussisme primaire ? Méchanceté gratuite ? Abus d'alcool ?... Je vous laisse choisir. Toujours est-il qu'à force de trancher dans mes commentaires, de façon à n'infliger à personne mes pénibles logorrhées, je fais des résumés abusifs de ce que je voulais signifier au départ. Ainsi, dans ma rédaction initiale, je disais que, plutôt que de se référer aussi ostensiblement à de Gaulle (dont je rappelais au passage qu'il est mort depuis près de trente-huit ans, et qu'il est donc un peu vain de s'en revendiquer constamment), votre édile aurait mieux fait de s'inspirer de son héros dans le soin constant que ce dernier mettait à s'exprimer dans un français impeccable. Je rapportais à ce titre l'anecdote, entendue autrefois, selon laquelle le vieux général avait failli s'étouffer quand un conseiller (ou un ministre, je ne sais plus) lui avait fait remarquer, avec, évidemment, toutes les précautions nécessaires, que l'on ne disait pas « nous avons convenu de », comme il l'avait indûment écrit dans ses mémoires, mais bien plutôt « nous sommes convenus de ». Or, à lire les blogues politiques des uns et les autres sur la Toile, j'aimerais bien qu'au moins ceux qui se réclament de l'héritage gaulliste aient ce type de préoccupation.
@Arnaud Clément
Je vous l'accorde, ce n'est pas tant la photo de la croix de Lorraine figurant par trois fois sur votre blogue qui est grosse, que l'immense croix de Colombey-les-deux-Églises qu'elle représente, édifice dont vous me permettrez de penser qu'il est, vu de près, particulièrement hideux et kitsch, bien dans le ton en cela de l'architecture des années 70 (je précise évidemment que je ne vise en rien, ici, le symbole qu'a représenté la croix de Lorraine durant la guerre, même s'il y aurait sans doute à dire sur l'exploitation qui en a été faite ensuite).
Pour le reste, je ne suis lancé dans aucune croisade, je ne prétends nullement écrire sans faire de fautes, et je suis tout prêt à vous croire quand vous me dites que votre blogue est plutôt de bonne tenue sur ce plan, même si, je vous l'avoue, je n'ai pas le cœur à aller le vérifier par moi-même. Il n'en reste pas moins que vous avez fait assez fort dans votre texte, tout au moins dans les quinze premières lignes.
Or, comme ce texte avait trait à l'éducation nationale, comme vous êtes vous-même enseignant, et, pourquoi le cacher, comme vous êtes en outre un élu de droite, et qui plus est, si je comprends bien, de la droite souverainiste (censée être plus attachée que d'autres à certaines valeurs nationales, dont, sans doute, la langue française), je pouvais difficilement ne pas y aller de mon petit commentaire vachard, même si je ne peux que regretter, de gros sanglots dans la voix, de m'être laissé aller à une remarque aussi gratuite pour ce qui est de mon conseil de lecture.
Mes félicitations, en tout cas, pour le ton cordial de votre réponse. Certes, en tant qu'élu, vous vous astreignez sans doute à une certaine retenue, cependant, avec qui l'on sait sur le trône (mais, pas de polémique, c'est aujourd'hui fête nationale), vous pouviez très bien me faire envoyer sur l'heure le GIGN... (ha, ha, je plaisante).
pourquoi un si long silence ?
la chips trop ancienne perd du croustillant
et la terre est je crois de moins en moins sauvable...
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